Que vont devenir les livres qui peuplent les murs du salon et que l’on a rassemblés ensemble au fil d’années et parfois de décennies de vie commune ? Qui va emporter la belle table de salle à manger en bois massif que l’on avait dégottée au cours d’un voyage d’agrément en Espagne ? Avec qui les chats, qui partagent le quotidien du couple depuis quelques années, vont-ils vivre ? Si l’on a des enfants, comment va-t-on organiser la garde ? Quelle pension monsieur devra-t-il verser à madame si celle-ci ne travaille pas ou à temps partiel seulement ? Voilà quelques questions parmi bien d’autres possibles, auxquelles tous les futurs divorcés doivent répondre !

Remplir une simple convention de divorce

Mais que ce soit pour un divorce à Vaud ou à Genève ou partout ailleurs en Suisse, les époux doivent savoir qu’ils n’ont pas forcément besoin de faire appel à un avocat pour les régler ! D’ailleurs, ils peuvent même s’en passer tout à fait en optant comme 90 % des divorcés suisses pour un « divorce par consentement mutuel ». Aussi douloureuse leur séparation puisse être, c’est dans leur intérêt, car les critères juridiques pour juger sont désormais bien standardisés. En conséquence de quoi il est donc non seulement inutile dans 95 % des cas d’essayer d’en sortir, mais coûteux, tant financièrement que psychologiquement.  Mieux vaut donc se mettre d’accord, quitte, en cas de litige, à se faire accompagner par un médiateur, comme le conseille Divorce.ch (https://divorce.ch/) société spécialisée dans le divorce en ligne.